Tourné vers son temps et soucieux de faire vivre son répertoire, le Trio Pascal va créer deux partitions écrites à son intention et à celle du jeune et déjà très recherché contre-ténor Paul Figuier. Dans le Miserere de Jean-Philippe Goude et Le Dyptique de Bruno Coulais, tout en épure et ferveur, la voix de Paul Figuier se fait tour à tour céleste, tendre ou opulente, entrelaçant ses galbes avec celles du Trio Pascal.